La France à travers le feu de paille d’un Eric Zemmour, traverse une lame de fond identitaire, qui démontre d’ailleurs que son déclin est plus qu’annoncée , ce qui explique sa profonde dépression .
Mais à travers tous ces avatars, n’est -il pas permis de se poser cette question , « Qu’est ce donc être français à travers le prisme » du « domien » .
Le domien est une qualification édulcorée qui désigne des habitants des départements dits d’outre mer à travers un concept purement administratif.
A partir de là, n’est -il pas permis fort logiquement de faire la distinction entre des gens détenteurs d’un document administratif, les désignant comme les ressortissants d’un pays ou parfois ils n’ont jamais mis les pieds , et les autres qui par leur apparence singulière se désignent ( teint claire par déficit de mélanine ) comme indigènes de ce pays .
Cependant lorsqu’un colonisé , qui plus est d’ascendance africaine s’entête à se définir comme citoyen d’un pays qui auparavant avait maintenu ses ancêtres en esclavage, cela conduit à quoi ?
A citer parfois Voltaire dont la langue française se réfère , mais qui devrait logiquement ramener à la pensée nauséabonde de ce genre d’individu .
Que disait ce sinistre personnage.?
« je soupçonne le blanc d’être supérieur aux nègres et les nègres d’êtres supérieurs au singe »
Cela en dit long, sur la considération qu’avait ce sinistre énergumène à l’endroit de l’homme originel et la contradiction de ceux qui sont les descendants à le citer, en se croyant cultivés.
Toutefois, non content de cette première glissade, , l’homme de culture colonisé, continuera à s’enfoncer dans les méandres de son assimilation en continuant à citer les pires ennemis de son existentiel.
Il va citer Victor Hugo, l’homme se disant humaniste, mais qui nie toute l’existence et l’histoire de l’homme originel, l’homme africain. Mais il n’est pas le seul , car même des siècles, plus tard, un médiocre reprise de justice Nicolas Sarkosi, prétend qu’il n’est pas assez rentrer dans l’histoire. Ce qui veut dire à peut près la même chose .
Que dit Hugo à propos?
« Que serait l’Afrique sans les blancs ?
Probablement rien ». Autrement dit, l’homme africain n’aurait rien apporté à l’histoire de l’humanité et encore moins de celle de l’Afrique. En tout cas pas plus que les grains de sable dont il fait allusion pour dire que l’Afrique serait réduite à ça, si es blancs n’étaient pas venus.
Voilà donc l’homme africain se faisant hara kiri, chaque fois fois qu’il se projette ou se reconnaît dans la pensée de ce genre de personnage.
Mais il va au delà de la perversité, , non pas pas à citer Ernest Renan, mais à baptiser des noms de rue de ses villes et village du nom de cet énergumène sans envergure, qui avait pour seul avantage, de pouvoir soutenir ses théorie funestes , face à des ignorants qui n’avaient d’autres choix que de s’en contenter sans rien comprendre, parce cela les arrangeait ..
Il y a notamment des noms de rue de ce salopard méprisant en Afrique et dans les colonies françaises de la Caraïbe.
Celui là même qui réduisait la race africaine à un rôle de travailleurs au profit de celle européenne de maîtres et de soldats.
Alors à partir de la , est-il possible pour les descendants d’africains de rêver, de penser dans une langue en se disant enfants du pays . De quel pays ?
Comment pouvons nous encore sans offenser nos ascendants, et dire que nous avons fait allégeance au pays qui les avait réduit au rang de bêtes de sommes , en nous targuant d’être des siens, avec tout le mépris sous-jacent que cela comporte ..
Markus Delgrès